Biographie

Brute Art est le deuxième album d'InRed, et son titre nous renseigne bien : après Just About Anything is Possible, un premier opus virtuose et polymorphe, le groupe resserre le propos avec des chansons plus directes, plus rock, sans pour autant se départir de son élégance.

On imagine ainsi Bowie accompagné du Clash ou des Ramones ("Walkabout", "Pink Cloud Island"). Parfois on pense entendre des réminiscences Brit-pop de Blur ou Pulp ("Beautiful Girl", "The Darkness"), à moins que ce ne soit la gouaille londonienne de Pat Griffiths, et ce talent très anglais pour ciseler des chansons à la fois pop et surprenantes ("Omnivore", "Lion's Share").

Brute Art est un album où prend forme une synthèse hors norme : à la fois rock et éclectique, low-fi et sophistiqué.

Depuis 2013, InRed donne vie à son alchimie sonore sur scène, au cours de nombreux concerts où Pat Griffiths s'appuie sur un groupe qui maîtrise un art tout en assurance et souplesse : François Accart (batterie) et Guillaume Tirard (basse) installent une rythmique multicolore et solide, sur laquelle Stéphane Meunier (guitare) pose des riffs légèrement saturés ou développe de subtiles envolées, le tout illuminé des interventions d'Anne Lisbet Tollånes (claviers).

L'album physique est accompagné d'un poster conçu par Romain Rachlin, le graphiste fétiche du groupe, et il est sérigraphié dans les règles de l'art par Pat Griffiths. Ce matériel est glissé dans une pochette surprise ; un concept revendiqué et en écho avec la chanson titre, Brute Art, qui raconte la rencontre du chanteur d'InRed avec Malcolm McLaren lors d'une initiation haute en couleur de l'iconique démiurge punk à ce "Brute Art" qu'est la sérigraphie !

Avec Brute Art vous serez surpris en terrain connu, ou sereins sur des terres inconnues. Tentés par un voyage ?

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